Représentation stylisée de New-York. Le spectateur reconnait l’Empire State Building au milieu d'une fragmentation de formes géométriques. Ces dernières se caractérisent sur la droite du tableau par des teintes chaudes, rosées, orangées ainsi que des terres dominantes, tandis que la partie gauche nous offre des bleutés, des gris, des teintes plus froides. Cette progression de nuances se prolonge sans rupture tout en demeurant à peine perceptible. Le tableau est séparé en trois zones horizontales: la partie haute, unie et blanche, est rythmée par une ligne horizontale alors que la partie centrale est définie par des formes verticales et colorées qui représentent la ville. Enfin, la partie basse, plus sombre, caractérisée par des couleurs chaudes et brunes, représente le reflet et marque une opposition franche à la partie supérieure. L’unité entre le haut et le bas est assurée par les verticalités et par les deux lignes horizontales. Le traitement en aplat des formes et des couleurs, ainsi que leur superposition, enrichissent chaque morceau du tableau qui apparait ainsi comme un labyrinthe où l’œil se promène au travers des formes et des couleurs. L’artiste a mis en valeur cette densité d’informations en s'appuyant sur des zones sobres et larges, telles que celles présentes à l’arrière plan.
Date de disponibilité:
New York
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Dimensions | 81 X 54 hors cadre |
Matière | Huile sur toile VENDU ENCADRE |
Représentation stylisée de New-York. Le spectateur reconnait l’Empire State Building au milieu d'une fragmentation de formes géométriques. Ces dernières se caractérisent sur la droite du tableau par des teintes chaudes, rosées, orangées ainsi que des terres dominantes, tandis que la partie gauche nous offre des bleutés, des gris, des teintes plus froides. Cette progression de nuances se prolonge sans rupture tout en demeurant à peine perceptible. Le tableau est séparé en trois zones horizontales: la partie haute, unie et blanche, est rythmée par une ligne horizontale alors que la partie centrale est définie par des formes verticales et colorées qui représentent la ville. Enfin, la partie basse, plus sombre, caractérisée par des couleurs chaudes et brunes, représente le reflet et marque une opposition franche à la partie supérieure. L’unité entre le haut et le bas est assurée par les verticalités et par les deux lignes horizontales. Le traitement en aplat des formes et des couleurs, ainsi que leur superposition, enrichissent chaque morceau du tableau qui apparait ainsi comme un labyrinthe où l’œil se promène au travers des formes et des couleurs. L’artiste a mis en valeur cette densité d’informations en s'appuyant sur des zones sobres et larges, telles que celles présentes à l’arrière plan.
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CASSOTTI Dominique Je suis née en région parisienne et, depuis quatre ans, j'habite Sanary-sur-mer. J'apprécie la douceur de vie de la région varoise. L'art et une passion pour la peinture à l'huile m'ont poussée ces dernières années à exprimer mes ressentis. En 2013 j'intègre l'atelier "Art et Mouvement" à Toulon. J'ai redécouvert Nicolas de STAEL en parcourant les expositions organisées à l'occasion du centenaire de la naissance de l'artiste. A ce jour, je fais mienne son postulat: " Je n'oppose pas la peinture abstraite à la peinture figurative. Une peinture devrait être à la fois abstraite et figurative. Abstraite en tant que mur, figurative en tant que représentation d'un espace". |